Traitement et réduction du poids de tous types de matières organiques tels que:
1 - Transformation des déchets en engrais biologique recyclable pour l’agriculture.
2 - Le traitement biologique se fait avec l’apport de micro-organismes particulièrement sélectionnés pour leur capacité à dégrader et transformer les déchets de types organiques
3 - Procédé écologique permettant une élimination total de 100%, via le réseau d’égout ou de l’épandage biologique
Fermentation immédiate grâce à l’injection spontanée de micro-organismes directement par un broyeur ou laminaire injecteur (Breveté Natura Viva).
Dans le broyeur, les bactéries sont malaxées avec le broyat des déchets, permettant la fermentation simultanée et rapide.
L’injection des bactéries est particulièrement adaptée aux besoins du déchet à traiter, y compris le besoin en structurant
L’injection proportionnée par l’apport de micro-organismes et d’oxygène, accélère la fermentation biologique et réduit ainsi le temps de la dégradation biologique de 3 h à 24 h
Le broyat est directement introduit dans la chambre de malaxage des déchets organiques: la chambre d’activation servant à l’accélération biologique avec l’injection contrôlé de micro-organismes spécifiques et sélectionnés pour leur capacité à se nidifier sur leur support minéral.
Cuve conique en acier inoxydable, axe de triture en acier inoxydable,...316 L / 3 mm
Sortie automatique de la matière compostée
Ejection vers le réseau par une pompe séquentiel
Alimentation électrique en monophasé ou triphasé
Toutes les fonctions sont gérées par électronique et robotique gestion informatisée, commande à distance, selon modèle.
Plusieurs modèles de RMO
Chargement conseillé: 75 % en continue dans la limite de la charge maximum du modèle et par jour
Les caractéristiques chimiques des déjections animales sont extrêmement variables, en particulier pour les critères qui nous mobilisent particulièrement tels que la matière sèche, la matière organique et les valeurs en azote, phosphore et potasse.
Elles le sont chez les bovins mais aussi chez tous les autres animaux d'élevage, leurs valeurs étant influencées par l'espèce animale, le poids vif, le type de production, le niveau alimentaire, la composition de la ration et son mode de distribution, On sait actuellement que, chez le porc, le mode d'alimentation influence le volume de lisier et la quantité d'azote rejetée jusqu'à 30%.
Les relations directes entre les aliments ingérés et les excrétions sont plus faciles à mesurer chez les monogastriques que chez les ruminants, toutefois on retrouve ces mêmes types de liaisons dans les études de coefficients d'utilisation
Ce sont des bactéries capables de transformer l’azote N2 atmosphérique en azote organique NH3 utilisable par la plante qui héberge ces bactéries. On les trouve dans les racines de plantes tel le soja, le trèfle, la luzerne…
On les trouve dans la bouche, la gorge, le nez, sur la peau ; certaines participent à la digestion, à la fabrication de vitamines (dans l’intestin), à la digestion de la cellulose (chez les ruminants, cela leur permettant de digérer l’herbe.)
Étant donné leurs capacités métaboliques, les bactéries sont utilisées dans l’alimentation (fromage, yaourt.) En biotechnologie, les bactéries sont utilisées pour fabriquer des antibiotiques, des vitamines, pour digérer nos déchets des huiles lourdes. On peut les transformer génétiquement pour leur faire fabriquer l’insuline humaine ou encore l’hormone de croissance.
Quand on l’utilise, on tire profit de la simplicité de son milieu de culture et également de sa vitesse de division. A condition favorable, elle se divise toutes les 20 minutes. Les souches utilisées sont non pathogènes.
Pathogène = capable de générer la maladie.
Virulente = lors de l’entrée dans un être vivant, cause la maladie.
Un bovin produit en moyenne 70 Kg/jour soit :
Pour traiter en continu une RMO de 9000 kg/J sera nécessaire au compostage total.
La transformation des matières organique, tel que les lisier de bovin, porcs, élevage de poulet, est naturellement variable.
Une réduction de 80 % à 90 % de la masse, est généralement admise.
Le rapport de la surface sur le volume est une des caractéristiques fondamentales du fonctionnement bactérien.
Ce principe d’interface est au cœur de notre système de biodégradation où le temps de traitement des déchets ménagers ne doit pas excéder 24 heures. (Rôle d'interface)
C'est à travers l’interface que vont se faire les échanges entre les microorganismes et leur environnement, en l’occurrence les enzymes sécrétées par les bactéries et les matières organiques à dégrader. Plus le renouvellement de ces matières sur le lit bactérien est important, plus les échanges augmenteront et, par conséquent, plus rapidement sera « digérée » cette matière organique
Notre système permet cette accélération. Rôle structurel de notre méthode de nidification :
Notre méthode d’implantation de colonies bactériennes spécialisées sur support minéral permet une nidification efficace et protégée qui augmente la résistance des micro-organismes aux agents extérieurs.
Moins sensibles aux produits chimiques, aux variations de température et autres contraintes mécaniques accidentelles, nos bactéries sont plus résistantes et entrainent une meilleure homogénéisation du compost.
Les bactéries sont des organismes vivants qui ont besoin de trouver dans leur environnement tous les éléments qui constituent leur structure cellulaire, c'est-à-dire : C, H, O, N, P, S…Ces éléments se trouvent sous forme de molécules plus ou moins complexes tels que sucres, amidon, cellulose, protéines, matières grasses, hydrocarbures... éléments naturellement présents dans les matières organiques.
Ce mode est de type exponentiel.
Accoutumance des bactéries à leur environnement, synthèse des premières enzymes.
Les bactéries se reproduisent très rapidement.
Arrêt de la reproduction, les bactéries vivent sur leurs réserves en nutriment. (Phase dynamique)
Le nombre de bactéries diminuent rapidement (phase de vieillissement) On observe alors un ralentissement de la période stationnaire ; le phénomène de vieillissement des bactéries inhibant la croissance, finit par engendrer un dysfonctionnement de la dégradation.
Afin d’éviter cette diminution des rendements, il convient de rajeunir la biomasse pour assurer une dégradation constante et linéaire.
Techniquement, pour un appareil prévu pour traiter 200 kg de déchets ménagers/jour, cet entretien se réduit à un apport journalier de 25 à 50 gr de produit biologique.
Dans le processus, on peut distinguer 3 phases de réduction :
Avec les consortiums composés par Natura Viva, il a été observé dans un cycle complet de 12 h :
Il est important de noter que le consortium bactérien préparé par Natura Viva permet une dégradation de la matière stabilisé, avec une matière organique complètement dégradé, propre, sec et sans odeur. Conforme aux normes de rejet en Restauration, ce digestat inerte pourra être évacué en toute légalité dans un bac à graisses de type biologique ou non, assurant ainsi une disparition à 100% des déchets de manière écologique et responsable, cette dernière phase assure l’élimination des graisses en continue.
Le principe de la RMO assure la dégradation biologique : Des lisiers de bovins, de porcs, fientes de poules, boues des stations d’épurations.
Gammes : de 5 Kg à 10 tonnes par 24 heures. Fabrication NF en inox 316 L et 304 L
- Tarwash - Désagrégation des polluants
- Désinfectants - Désinfection locale virus, bactéries,...
- CONSORTIUM - Protection de l'environnement
- Compostage biologique agriculture et industrie
- Réduction de déchets organiques en restauration
Le Ciastelas - 06830 Toudon - France